Elle est émise à partir d'un point donné et rayonne à partir de ce point.
Ceux qui disent en dépendre ne peuvent eux non plus être libre.
Ceux qui disent en dépendre ne peuvent eux non plus être libre.
samedi 26 avril 2014
samedi 19 avril 2014
Les juges de la prairie
Lorsque le tout nouveau agriculteur s'attaque au retournement de la prairie, c'est à ses juges qu'il a affaire, juges d'un monde finissant, juges d'un monde en manque de place, monde dont la mentalité des juges est l'exact reflet, monde sans jeu, sans espace, monde étouffant.
Les chiens aboient, la caravane passe... Le monde de la prairie hurle mais le laboureur est sourd et la retourne sans état d'âme... La sauvegarde de leur mentalité du passé, mentalité dépassée qui pourtant se pense à la pointe, n'a absolument aucun intérêt.
Mystère du retournement qui offre un nouveau jeu, nouvel espace que l'on nomme alors le champ, champ qui remplace la prairie...
PS.: Je pense là bien entendu à la mentalité des juges des affaires familiales (des femmes que j'ai rencontrées, le seul homme JAF rencontré -forcément plus sensible que les peaux de vache qui nous jugent- s'étant suicidé tout comme mon avocate) ou encore aux modérateurs mauriciens d'Expat-blog... Tous ces gens me paraissent bien sous alimentés et donc un peu court en énergie cérébrale mais se permettant toutefois de juger ceux qui les dépassent.
PS2. : Pour mieux comprendre la Justice française, relire La manufacture à vermine et l'article de Charles Gave : La France malade de sa justice.
Les chiens aboient, la caravane passe... Le monde de la prairie hurle mais le laboureur est sourd et la retourne sans état d'âme... La sauvegarde de leur mentalité du passé, mentalité dépassée qui pourtant se pense à la pointe, n'a absolument aucun intérêt.
Mystère du retournement qui offre un nouveau jeu, nouvel espace que l'on nomme alors le champ, champ qui remplace la prairie...
PS.: Je pense là bien entendu à la mentalité des juges des affaires familiales (des femmes que j'ai rencontrées, le seul homme JAF rencontré -forcément plus sensible que les peaux de vache qui nous jugent- s'étant suicidé tout comme mon avocate) ou encore aux modérateurs mauriciens d'Expat-blog... Tous ces gens me paraissent bien sous alimentés et donc un peu court en énergie cérébrale mais se permettant toutefois de juger ceux qui les dépassent.
PS2. : Pour mieux comprendre la Justice française, relire La manufacture à vermine et l'article de Charles Gave : La France malade de sa justice.
vendredi 18 avril 2014
Au coeur de la nuit, une lumière...
Au coeur de la nuit, une lumière... mais ce n'est pas cette lumière commune à tous, comme la lumière solaire.
Cette lumière est spéciale. Elle éclaire l'esprit... paradoxalement se manifestant au coeur du joug... Ainsi la lumière (le jour, l'espace) d'entre les deux boeufs sous le joug... Qui aurait pensé trouver en cet endroit une lumière, véritable lumière qui éclaire l'homme ?
Quand l'homme descend vers cette lumière, c'est une véritable descente aux enfers, descente dans la nuit.
L'exemple personnel qui à mes yeux illustre cela a été le comportement de la "justice" familiale rennaise, qui, sur la demande la mère experte en faux, m'a complètement privé de mes deux enfants. Mes propos étaient déformés, compris dans un sens tout autre, je glissais, perdais pied sans pouvoir aucunement me défendre, toute défense de ma part étant par ailleurs non comprise comme telle... Ainsi, j'ai fui très loin... et plus de 3 ans après, me retrouve avec une fille et un garçon comme faisant écho à mes enfants perdus (même signe astrologique, même écart d'âge, d'abord fille, puis garçon...).
Mais dans cette lumière, je ne suis plus dans la lumière des hommes, celles des jours ordinaires... Et si je réapparais -dans un forum par exemple-, on ne veut pas de mon témoignage, l'on veut même m'effacer... Cet "on" pouvant être plus particulièrement une personne qui selon toute probabilité refuse viscéralement cette lumière intérieure, personne plus en phase avec la foi (la fausse foi, foi simplement humaine) de Roger Garaudy, que celle de Maurice Clavel dont je m'estimerais facilement un fils spirituel.
Mais cette opposition témoigne un retour parmi les hommes comme une graine qui a germé et dont la plantule doit casse la croûte (de sol) pour retrouver la lumière commune, la lumière solaire toutefois vivifiante.
PS. : Il est vrai que j'ai été comme sous le joug durant mon séjour lointain. Projet de clavier dans un premier temps, lequel me clouait dans ma chambre au minimum constaté de 28°C ; puis expérimentation toujours seul de la culture de tomate Marmande...
Cette lumière est spéciale. Elle éclaire l'esprit... paradoxalement se manifestant au coeur du joug... Ainsi la lumière (le jour, l'espace) d'entre les deux boeufs sous le joug... Qui aurait pensé trouver en cet endroit une lumière, véritable lumière qui éclaire l'homme ?
Quand l'homme descend vers cette lumière, c'est une véritable descente aux enfers, descente dans la nuit.
L'exemple personnel qui à mes yeux illustre cela a été le comportement de la "justice" familiale rennaise, qui, sur la demande la mère experte en faux, m'a complètement privé de mes deux enfants. Mes propos étaient déformés, compris dans un sens tout autre, je glissais, perdais pied sans pouvoir aucunement me défendre, toute défense de ma part étant par ailleurs non comprise comme telle... Ainsi, j'ai fui très loin... et plus de 3 ans après, me retrouve avec une fille et un garçon comme faisant écho à mes enfants perdus (même signe astrologique, même écart d'âge, d'abord fille, puis garçon...).
Mais dans cette lumière, je ne suis plus dans la lumière des hommes, celles des jours ordinaires... Et si je réapparais -dans un forum par exemple-, on ne veut pas de mon témoignage, l'on veut même m'effacer... Cet "on" pouvant être plus particulièrement une personne qui selon toute probabilité refuse viscéralement cette lumière intérieure, personne plus en phase avec la foi (la fausse foi, foi simplement humaine) de Roger Garaudy, que celle de Maurice Clavel dont je m'estimerais facilement un fils spirituel.
Mais cette opposition témoigne un retour parmi les hommes comme une graine qui a germé et dont la plantule doit casse la croûte (de sol) pour retrouver la lumière commune, la lumière solaire toutefois vivifiante.
PS. : Il est vrai que j'ai été comme sous le joug durant mon séjour lointain. Projet de clavier dans un premier temps, lequel me clouait dans ma chambre au minimum constaté de 28°C ; puis expérimentation toujours seul de la culture de tomate Marmande...
dimanche 13 avril 2014
Amorce sur le savoir et la connaissance (à développer ultérieurement)
Un commentaire Facebook sur cette discussion provoque ce post...
J'ai noté cet extrait d'un commentaire de Nouchine : "C'est un peu comme les prêts bancaires. Si on accorde des prêts bancaires à tout le monde à l'arrache la notion de crédit disparait (car le crédit est quelque chose qu'on possède; c'est de l'argent qu'on nous prête pas du crédit)."
J'ai alors rebondi : "Nouchine "Si on accorde des prêts bancaires à tout le monde à l'arrache la notion de crédit disparait"... C'est comme pour l'économie de la connaissance... un savoir facile et accessible à tous, cela donne de pitoyable résultat (cf. internet et ce qu'en dit chevallier.biz)... Dans économie de la connaissance, il y a le mot économie..."
Il me répond : "Oui sauf que economie signifie economie de travail et de temps et non d argent, rien n implique qu on ne puisse pas apprendre aussi bien et en moins de temps. Cela dit je ne comprends pas votre objection. Je ne connais pas l ecnomie de la connaissance, il n y a pour moi que des economes et des paraisseux."
Je répond : "L'économie de la connaissance, on dit que c'est notre futur.... C'est en tout cas bien mal parti !!!"
De là cette réponse de Nouchine : "oui vous vous rendrez compte qu'en l'identifiant a "notre futur" vous n'expliquer pas ce quelle est, peut-être en est-ce un exemple? (je rigole) Si vous voulez vous remonter le moral il faut aller lire un peu de Quine ou d'autre auteur relativiste sur la connaissance... si vous pensez qu'il y a une connaissance absolue, ben je pense qu'il est évident qu'on ne la possède pas encore, comment pourrait-on en faire l'économie. Si ensuite vous pensez que la connaissance c'est de d’approximativement vrai et que comme un bon réaliste a chaque fois qu'on fait un pas en avant on se rapproche de approximativement vrai, vous vous rendrez compte vous-même qu'il s'agit en fait de rendre les choses plus approximatives (dans le sens négatif de "plus"). Dans les trois cas je ne comprends pas ce que pourrait en être une économie, a moins de tout simplement parler d'ignorance. Le problème évident (vieux de 2000 ans) est que vous semblez faire l'amalgame entre opinion, opinions vraies (jutifiées) et connaissance..."
Ma réponse : ""on dit que c'est notre futur"... je n'ai pas dit que j'approuvais !!!"
Nouchine : oui avec les guillemets c'est juste
Et je termine : je ne vais pas polluer plus longtemps cette discussion, je la développerais sans doute un jour sur mon nouveau bloghttp://lumnit.blogspot.com/
J'ai noté cet extrait d'un commentaire de Nouchine : "C'est un peu comme les prêts bancaires. Si on accorde des prêts bancaires à tout le monde à l'arrache la notion de crédit disparait (car le crédit est quelque chose qu'on possède; c'est de l'argent qu'on nous prête pas du crédit)."
J'ai alors rebondi : "Nouchine "Si on accorde des prêts bancaires à tout le monde à l'arrache la notion de crédit disparait"... C'est comme pour l'économie de la connaissance... un savoir facile et accessible à tous, cela donne de pitoyable résultat (cf. internet et ce qu'en dit chevallier.biz)... Dans économie de la connaissance, il y a le mot économie..."
Il me répond : "Oui sauf que economie signifie economie de travail et de temps et non d argent, rien n implique qu on ne puisse pas apprendre aussi bien et en moins de temps. Cela dit je ne comprends pas votre objection. Je ne connais pas l ecnomie de la connaissance, il n y a pour moi que des economes et des paraisseux."
Je répond : "L'économie de la connaissance, on dit que c'est notre futur.... C'est en tout cas bien mal parti !!!"
De là cette réponse de Nouchine : "oui vous vous rendrez compte qu'en l'identifiant a "notre futur" vous n'expliquer pas ce quelle est, peut-être en est-ce un exemple? (je rigole) Si vous voulez vous remonter le moral il faut aller lire un peu de Quine ou d'autre auteur relativiste sur la connaissance... si vous pensez qu'il y a une connaissance absolue, ben je pense qu'il est évident qu'on ne la possède pas encore, comment pourrait-on en faire l'économie. Si ensuite vous pensez que la connaissance c'est de d’approximativement vrai et que comme un bon réaliste a chaque fois qu'on fait un pas en avant on se rapproche de approximativement vrai, vous vous rendrez compte vous-même qu'il s'agit en fait de rendre les choses plus approximatives (dans le sens négatif de "plus"). Dans les trois cas je ne comprends pas ce que pourrait en être une économie, a moins de tout simplement parler d'ignorance. Le problème évident (vieux de 2000 ans) est que vous semblez faire l'amalgame entre opinion, opinions vraies (jutifiées) et connaissance..."
Ma réponse : ""on dit que c'est notre futur"... je n'ai pas dit que j'approuvais !!!"
Nouchine : oui avec les guillemets c'est juste
Et je termine : je ne vais pas polluer plus longtemps cette discussion, je la développerais sans doute un jour sur mon nouveau bloghttp://lumnit.blogspot.com/
lumnit.blogspot.com
Nuit féconde
Lorsque tous nos systèmes biologiques sont au repos, les idées viennent et s'organisent plus facilement... Ainsi durant le milieu de la nuit, après avoir déjà bien dormi... C'est en tout cas le cas pour moi et pour ma mère... Mais au réveil du matin, envolées toutes ces belles idées et idées de post... Il aurait fallu prendre note sans devoir beaucoup bouger... système de prise de note avec une main le long du corps alors qu'on reste allongé...
Les nouvelles idées et organisation sont fragiles et se manifestent sur les restes d'énergies qu'ils faut donc savoir économiser.
Les nouvelles idées et organisation sont fragiles et se manifestent sur les restes d'énergies qu'ils faut donc savoir économiser.
samedi 12 avril 2014
Le concept de "société englobante" mixé à celui d'égalité (1=0) est destructeur
Avec la notion de société englobante, l'on inclue les zéros qui se présentent... Mais ensuite considérer que ces zéros sont égaux aux producteurs de richesse (les 1), c'est passer ces derniers à la trappe et entraîner toute la société vers la faillite. Typiquement le cas de la France.
Respirer la fraicheur
Quelle chance de pouvoir respirer la fraîcheur ! J'apprécie d'autant plus après avoir passé près de deux ans et demi sous les tropiques (28° le minimum constaté dans ma chambre).
Respirer la fraîcheur, cette expression également pour qualifier un visage... qui respire la vie sage !
Respirer la fraîcheur, cette expression également pour qualifier un visage... qui respire la vie sage !
Encore un blog ? Pourquoi ?
C'est comme si la création de blog ne me réussissait plus...
J'ai eu un tout premier blog de nombreuses années "Pi égale trois mon amour" et j'y ai publié des milliers de post. Un des commentaires m'a donné un point de chute en dehors de la France, je le remercie encore aujourd'hui d'avoir commenté l'un de mes posts, ce qui a amorcé le contact entre nous deux, contact fécond puisque je me retrouve à nouveau avec deux enfants, ayant perdu le contact avec les deux tout premier qui ont désormais 19 et 17 ans. Ce fut d'ailleurs le déclencheur de mon départ, fuite de l’infâme justice familiale rennaise -n’ayons pas peur des mots- véritable vermine en hermine entourée d'expertes es ragot.
Les derniers posts de mon blog "Pi égale trois mon amour", blog défunt, sont en date du 2 février 2012.
C'est comme si, depuis, j'avais perdu ma verve... En effet, ce que j'ai alors pu écrire manquait, à mon sens, de pep !
Par ailleurs, c'est comme si je présentais le syndrome de Stockholm, devant pour survivre faire ami-ami avec mes agresseurs. Et tout dernièrement, de rencontrer sur un forum un gus présentant la même mentalité que les abrutis du Palais dit de Justice de Rennes, lequel, évidemment, ne pouvait me voir en peinture, déformant -tout comme la justice familiale rennaise- mes propos, me faisant dire ce que je n'avais pas dit.
Entre lui et moi, entre eux et moi, une distance remarquable... que j'explique par le fait qu'ils ne reconnaissent pas le zéro (tout comme les romains comptant sans zéro I, II, III, IV,...) tandis que je le prend en compte, ce qui ne peut que me magnifier tandis qu'ils restent minus.
Le plus curieux est que celui qui m'a permis de quitter quelques années la France est également celui qui m'a fait aller sur ce forum, débloquant en quelque sorte ma parole verrouillée, au plus grand dam de celui qui a pour moi alors a fait écho à l'infâme justice familiale rennaise...
Espérons avec ce blog, une parole libre et innovante...
J'ai eu un tout premier blog de nombreuses années "Pi égale trois mon amour" et j'y ai publié des milliers de post. Un des commentaires m'a donné un point de chute en dehors de la France, je le remercie encore aujourd'hui d'avoir commenté l'un de mes posts, ce qui a amorcé le contact entre nous deux, contact fécond puisque je me retrouve à nouveau avec deux enfants, ayant perdu le contact avec les deux tout premier qui ont désormais 19 et 17 ans. Ce fut d'ailleurs le déclencheur de mon départ, fuite de l’infâme justice familiale rennaise -n’ayons pas peur des mots- véritable vermine en hermine entourée d'expertes es ragot.
Les derniers posts de mon blog "Pi égale trois mon amour", blog défunt, sont en date du 2 février 2012.
C'est comme si, depuis, j'avais perdu ma verve... En effet, ce que j'ai alors pu écrire manquait, à mon sens, de pep !
Par ailleurs, c'est comme si je présentais le syndrome de Stockholm, devant pour survivre faire ami-ami avec mes agresseurs. Et tout dernièrement, de rencontrer sur un forum un gus présentant la même mentalité que les abrutis du Palais dit de Justice de Rennes, lequel, évidemment, ne pouvait me voir en peinture, déformant -tout comme la justice familiale rennaise- mes propos, me faisant dire ce que je n'avais pas dit.
Entre lui et moi, entre eux et moi, une distance remarquable... que j'explique par le fait qu'ils ne reconnaissent pas le zéro (tout comme les romains comptant sans zéro I, II, III, IV,...) tandis que je le prend en compte, ce qui ne peut que me magnifier tandis qu'ils restent minus.
Le plus curieux est que celui qui m'a permis de quitter quelques années la France est également celui qui m'a fait aller sur ce forum, débloquant en quelque sorte ma parole verrouillée, au plus grand dam de celui qui a pour moi alors a fait écho à l'infâme justice familiale rennaise...
Espérons avec ce blog, une parole libre et innovante...
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